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Le cheval athlète

 

Les chevaux de sport sont sous pression en permanence. On peut dire d’une façon générale: plus le niveau sportif est élevé, plus les performances sont difficiles alors que le cheval n’est guère mis ‘au vert’. La plupart des propriétaires et des entraîneurs estiment qu’il y a trop de risques de blessures lorsque les chevaux sont dans un pré. Or, cette catégorie de chevaux a justement besoin de se détendre, tant d'un point de vue mental que physique. S’il n’existe pas de possibilité de détente sous cette forme, des compensations devront être assurées.

On veut entraîner un cheval dans le but d’atteindre un certain niveau. Le plus difficile est de trouver l’équilibre entre l’effort, la récupération et la progression.
Pendant la récupération, l’organisme élimine les déchets métaboliques, produits pendant l’effort et se prépare au prochain effort demandé en se fortifiant (super-compensation).
Si l’entraînement n’est pas assez soutenu, le cheval ne progresse pas. Si, au contraire, les efforts demandés sont trop lourds, le cheval sera épuisé.
Le plus difficile lors d’un entraînement c’est de savoir jusqu’où on peut aller. Pour cela, il est important de connaître les signes de surentraînement:
*le cheval manque d’appétit et perd du poids;
*il est irrité, n’a plus envie de rien, il ne s’intéresse plus à son environnement;
*il travaille de plus en plus mal, trébuche plus souvent et il agite plus souvent la queue;
*il urine et défèque fréquemment pendant le travail;
*il essaye de s’enfuir dans le galop, refuse des exercices ou même tout travail;
Quand on exige régulièrement des efforts (et ce pendant des années), un accompagnement médical correct sera nécessaire. Mieux vaut prévenir..
Il n’y a pas que les muscles, les tendons, les articulations ou les sabots qui souffrent pendant l’entraînement, les compétitions ou les courses, il y a aussi les organes comme le cœur, les poumons, le foie, les reins etc.
A ne pas oublier: chaque cheval (de sport) subit quotidiennement du stress (voir également le dossier Stress, maladies et ses conséquences).
Une des nombreuses réactions au stress est la production permanente de cortisol. Le cortisol, entre autres, freine l’absorption du glucose par les cellules et fait augmenter le taux de glucose circulant. Il y aura moins de glucose disponible dans les muscles, qui se fatiguent alors plus rapidement.

Il a déjà été dit: après chaque effort le cheval doit être capable de récupérer avant de reprendre un autre effort et ceci n’est possible que s’il reçoit suffisamment de substances nutritives de base. Un manque, même infime, d’une substance de base particulière peut être à l’origine de conséquences considérables.

Au cours d’un entraînement intensif, d’une course ou d’un concours d’endurance, le cheval produit de l’acide lactique qui, s’il n’est pas évacué rapidement, causera des dommages au tissu musculaire. Si le cheval doit fournir d’autres efforts, les muscles vont se charger en acide, l’irrigation sanguine va diminuer, d’autres métabolites toxiques vont se former. Ainsi le cheval sera de plus en plus raide, ses muscles souffrant progressivement d’un défaut croissant d’apport d’oxygène et d’éléments nutritifs (voir aussi l'appareil locomoteur: les muscles).
La fatigue, quant à elle, n’est pas causée par l’acide lactique, mais par un épuisement des réserves de glycogène dans les muscles, phénomène que l’on voit souvent en fin des courses d’endurance.
Après un effort intense, il est souhaitable de soumettre le cheval à un exercice léger, travail à la longe par exemple, dans le but de simplement stimuler la circulation sanguine, les substances toxiques seront éliminées sans qu’il en soit produit de nouvelles. Vous pouvez favoriser ce rétablissement à l’aide de produits naturels comme Spiruline.
Lors de chaque effort, il se forme des radicaux libres; pendant les 2 à 3 jours qui précèdent un concours et les 3 à 5 jours qui le suivent, vous pouvez ajouter des antioxydants à la nourriture. Les chevaux qui doivent s’entraîner en continu peuvent recevoir ces antioxydants tous les jours sans problème.

Quelques conseils pour reprendre le travail après une période de repos, par exemple une blessure, un surentraînement ou repos d’hiver:
*ré-adaptez progressivement la nourriture du cheval, sinon vous risquez des coliques ou fourbures;
*si le cheval a pris quelques kilos ne le mettez pas au régime au début, il aura trop besoin de l’énergie et de nutriments pour accomplir le travail et retrouver le rythme, surveillez plutôt qu’il maintienne son poids;
*vous pouvez le préparer pour le travail en lui faisant un “traitement de fond” avec Equi’drink Drainage et Biotics, suivi par Equi’drink Immunotonic.
*surveillez que les dents soient contrôlées régulièrement, le temps passe vite!
*oubliez tout ce qui est “trop”: trop long, trop vite, trop lourd etc.: chaque modification concernant notre cheval athlète ne doit être exécutée que très progressivement!