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L'appareil locomoteur: la maladie naviculaire

 

Maladie Naviculaire :
Aussi nommé syndrome podotrochléaire: il s’agit d’une inflammation très progressive et particulièrement difficile à traiter.
L’affection est la conséquence de troubles de l’irrigation sanguine de l’os naviculaire avec diminution des apports nutritifs et dégénérescence de l’os.
La douleur est importante, ce qui rend le cheval boiteux. Les dégâts sont la conséquence de tensions excessives au sein des tissus (ligaments des os naviculaires), résultant de surcharges répétées. Au cours des mouvements des membres du cheval, le tendon perforant coulisse en permanence sur l’os naviculaire, y exerçant une certaine pression. Cette pression est amortie par la présence d’une bourse synoviale entre l’os et le tendon. L’étiologie de cette affection si fréquente chez les chevaux est encore mal déterminée. Les causes sont multiples et les structures concernées ne sont généralement pas uniques.

On peut citer quelques causes favorisant la maladie naviculaire:
*erreurs dans les soins au jeune cheval et l’alimentation en général;
*travail excessif et trop précoce par rapport à la croissance du cheval;
*travail à l’obstacle trop important;
*sol de mauvaise qualité (carrières);
*soins des pieds insuffisants;
*morphologie du pied et hérédité.
On reconnaît le cheval “naviculaire” à ses allures: il raccourcit ses foulées de plus en plus. Au début, on pense plutôt à des problèmes scapulaires. Après un certain temps le cheval commence à trébucher, surtout sur un sol dur. Les chevaux d’obstacles refuseront de plus en plus de sauter. Un examen vétérinaire est toujours nécessaire pour diagnostiquer le syndrome.

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Un autre point de vue :
Un entraîneur Belge très expérimenté, Antoine de Bodt, prétend que: “la maladie naviculaire n’existe pas! Ce n’est pas un problème médical mais un problème d’équitation”.
Une mauvaise répartition des charges entre les quatre membres avec surcharge , la plus souvent, des antérieurs. Au départ, on observe que chaque cheval est asymétrique, 8 chevaux sur 10 sont incurvés à droite, c’est à dire: concaves et toniques du côté droit et convexes et hypotoniques du côté gauche. La plupart des cavaliers ont tendance à accentuer cette incurvation plutôt que de redresser le cheval par le travail.
Le placement des postérieurs est alors vicié d’où une surcharge des antérieurs, particulièrement dans la zone sensible podotrochléaire.
Au cours de ses stages M. de Bodt présente des résultats déconcertants, obtenus grâce à ses technique d’entraînement. Les effets seraient déjà visibles après 15 minutes de travail!